dimanche 28 octobre 2007

Chapelier fou


Corée et Faust fête aujourd'hui leur non-naissance...



jeudi 18 octobre 2007

Et si on arrêtait


De se prendre la tête pour si peu


De se poser trop de questions


De faire la moule


De cultiver le stress


D'envoyer des sms à des heures impossibles


De râler

D'être malade

De glandouiller sur le pc
De se trouver des excuses
(D'avoir peur)


De chercher les embrouilles

???
Pix by Faust

mardi 16 octobre 2007

Tu sais


Je préfére l'envie à la fatalité...

lundi 15 octobre 2007


Au parvis des angoissées, Coré se questionne.

Faust abandonne?


Coré: Qu'as-tu donc à tourner si vite dans un monde que tu aimes pourtant voir vivre?


Faust: il ne m'est plus donné de prendre le temps.




Au parvis des angoissés, Coré se questionne.

Faust n'est plus dans la donne.






Un instant, une minute, une vie, du temps!


Juste pour mieux réfléchir, pour mieux repartir.



Envie de choses trop grandes pour moi.




Besoin de redéfinir mes émotions.




Savoir ce qui est vrai et ce qui est...bon?






Faust









mercredi 10 octobre 2007

Extrait d'Eths


Elle, quelque fois. Aurait voulu être elle. Quelques joies pour quelques peines. Elle, sans visage, ne donne pas son âge. Le regard, sagement dérobé. Elevage des âmes, plein corsage... Quel corps vais-je vendre aujourd'hui ? Choisir je ne saurais. Mais pour eux le mieux serait. La peau nue de ma poupée ; Si souvent, je la porterais. Vous pourrez alors, cracher, détruire, voler, me saccager. Sous elle je ris si fort que peut-être m'entendrez-vous? Sous elle je ris si fort que peut-être étais-ce vous? Sous elle, je cris si fort. Sous elle, je ris si fort. Sous elle, je vis si fort. Sous elle, je prie si fort. Sous elle, je gis si fort. Sous elle, je ris si fort que peut-être m'entendrez-vous ? Sous elle, je cris si fort que peut-être la tueriez-vous ? Elle sans visage, ne donne pas son âge. Le regard sagement dérobé. Elevage des âmes, plein corsage... Quel corps vais-je vendre ? Aujourd'hui. N'est pas sans rappeler demain. Je regarde le sang sur mes mains : Beau paysage !


(Détruis-moi)


*********************


Envie d'être une autre. Fille du vent prend l'air du temps. Remonte et descend le courant. Suspend l'instant, suicide latent. Bonsoir, les anges insolents. Attendrie, mes enfants sanglotants, je m'enfuis. Sors de ma tête !



(le fruit des anges)


**********************


Ma vie n'était qu'un rêve. L'amertume s'amoncelle. Je prie d'être irréelle. Nos veines ruissellent. Envahissent ma tête et je crève. J'ai cassé la beauté, effacé, gratté, cessé d'exister



(crucifère)


**********************


Dors, je veille sur toi. Déclenche ce sommeil réparateur et ouvre ton coeur. Laisse moi entrer dans tes rêves et songe au bonheur d'être l'acteur de tes fantasmes.


(dévore)


***********************



A nos pères qui êtes absents... Délivrez-nous du mal... Je vous salue Marie, pleine de grâce. A ceux qui nous ont offensés : nous vous soumettons à la tentation. A ceux qui nous ont dévastés, dites leur la vérité : la bête et l'agneau ne font qu'un.



Il Crache ses plaies. Poupée chiffon... La nuit est sourde. Samantha s'en va. J'attends mon tour. Dorment les cris. J'ai emprunté ton corps, je te le rendrais un peu cassé.



(Samantha)



**********************************


J'aime ton sang sur mon corps. Mange ton coeur dans mes mains. Je n'ai rien pu cacher dedans. Je ne fait que te regarder. De mes mains... Te noyer! Laisse-toi boire par les grands secrets des anges! Laisse-toi croire que tu m'as rendue sale. Laisse-moi te voir faible dans un corps qui penche. Laisse-moi avoir le choix que tu n' aies plus jamais mal. Laisse-moi croire que tu n'as plus mal... Un pantin ivre, pour un maître avide. Toujours sourire pour moins dormir. Et te tuer juste pour rire. Laisse-moi croire que tu n'as plus mal.


(des cendres)


************************************



Non. Toi, mélasse, prélasse-toi, traîne-toi encore dans l'air putréfié et chaud. Car bientôt je viendrais vous sauver. Ma couronne d'épines insérée dans la tête, moi, assidue, j'obéis au grand maître et je lèche à en perdre mon haleine presque morte, je suffoque, je m'étouffe en étant à sa droite, mais soit. Je visionne comme un film chaque vie qui défile, trie et parfois imagine. Toi, mélasse, prélasse-toi, traîne-toi encore, attend-ta mort. Ton corps s'endort dans ma venue indolore. Et je me saigne aux quatre veines, aux quatre sangs, pour que mon auréole devienne diadème et qu'un jour, scintillant, il devienne bien brillant. Dormez tranquilles, impassibles, car du haut de mon trône, moi, je vous conditionne. Moi, je vous conditionne! Toi, mélasse, prélasse-toi, traîne-toi encore, attend ta mort, implore. Ceux que tu adores, te tendent la main et te laisse à ton sort. L'ironie du sort? Le sort! Enfant, assieds-toi contre moi, en moi. Je suis partout, j'ai soif. Viens dans mon viol. Ton ame prend feu. Je suis celui qui pompera ta vie.



(le projet humain)



*******************************************


Je construits des abysses, c'est si beau, quand c'est au fond de la peau. Que je l'aime ton doux regard qui plisse... C'est si beau quand je défonce ton cerveau.


(animadversation)



***********************************************






lundi 8 octobre 2007

Ambition du moment


Aspirante torturatrice



Aspirateur à chocolat Milka



Croqueuse de Neko



Calîneuse de 30 milliards de potes



[à compléter]

dimanche 7 octobre 2007

Insane


I don't know what to do with myself.






Why not a sparkling mushroom?






Petite Coré se sent bizarre.

mardi 2 octobre 2007


Personne...

Mon nom est Perséphone et je suis muette.



Coré est mon double et tout semble m'échapper, entre ce que je crois être, ce que je suis, ce que je crois vouloir et ce dont j'ai besoin.





Je






ne








sais








plus



.

.

.

.

.

.

.