L'envie, non le besoin, de ta peau contre la mienne, de ton souffle dans ma nuque, d'avoir ma respiration coupée par les émois violents que tu crées chez moi.
A la pensée de chaque souvenir, un papillon me dévore le ventre...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire